football Le succès du Maroc à la Coupe du Monde de la FIFA 2022 est un atout majeur pour l’organisation de l’AFCON 2025.

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football Le succès du Maroc à la Coupe du Monde de la FIFA 2022 est un atout majeur pour l'organisation de l'AFCON 2025.

Le Maroc a dominé les compétitions continentales interclubs, tant pour les hommes que pour les femmes, sans oublier l’équipe masculine – les Lions de l’Atlas – qui, contre toute attente, a terminé à la 4e place de la Coupe du monde de la FIFA 2022, la seule nation africaine à atteindre cet exploit dans l’histoire de la compétition mondiale.

Le succès du Maroc sur la scène internationale est le résultat d’un investissement de longue date dans le talent et les ressources, comme en témoignent les meilleures structures de jeunesse et les installations de pointe, et non pas un rêve qui se réalise du jour au lendemain comme beaucoup peuvent le penser.

Les réalisations sportives de l’année 2022 sont le résultat d’une stratégie à long terme mise en œuvre par la FRMF. Les différentes équipes nationales et les clubs du Royaume ont dignement représenté le pays et ont brillé dans chacune des compétitions.

La performance historique des Lions de l’Atlas lors de la Coupe du monde 2022 au Qatar, dont l’écho a fait le tour du monde, n’était que la cerise sur le gâteau d’une razzia continentale dans le football masculin et féminin.

En effet, les clubs nationaux ont remporté toutes les compétitions continentales chez les hommes (Ligue des champions pour le WAC, Coupe CAF et Supercoupe pour Berkane) tandis que les FAR ont remporté pour la première fois la Ligue des champions féminine. Selon le classement des associations membres de la CAF, depuis 2020 et jusqu’à aujourd’hui, le championnat marocain est le meilleur d’Afrique.

Au niveau des équipes nationales, l’équipe féminine U17 s’est qualifiée pour la première fois pour la Coupe du monde féminine, en battant le pays hôte, l’Inde.

L’équipe féminine senior a réussi à atteindre la finale de la CAN 2022, et jouera cet été, pour la première fois dans l’histoire du monde arabe, la Coupe du Monde Féminine de la FIFA 2023 en Australie et en Nouvelle-Zélande.

Enfin, le Maroc a remporté deux CHAN consécutifs, et le Maroc est aujourd’hui doté de la meilleure équipe africaine de futsal de l’histoire (8e au classement FIFA), avec un solide palmarès : 2 CAN, 2 Coupe Arabe 1 Coupe des Confédérations et une élimination en quart de finale de la dernière Coupe du Monde.

Tous ces résultats sont le fruit du travail réalisé par la Fédération Royale Marocaine de Football, sous la houlette de son président Fouzi Lekjaa, qui a mis en place, depuis 2014, une véritable stratégie de développement du football local.

Les infrastructures du football au Maroc

Pour rappel, le Royaume dispose aujourd’hui de plus de 200 terrains en gazon synthétique aux normes, d’une vingtaine de stades avec des terrains en gazon naturel et un éclairage aux normes, de cinq centres d’entraînement régionaux ainsi que du fameux Complexe de football Mohammed VI, infrastructure unique en Afrique.

Ces installations s’étendent sur près de 30 hectares et offrent des équipements de pointe conformes aux normes de la FIFA, faisant de ce joyau du football marocain l’un des complexes sportifs les plus importants et les plus performants au monde.

Parallèlement, les autorités marocaines ont également insisté sur les infrastructures locales. “Dans les 12 régions du Maroc, nous avons une équipe qui pilote le développement régional, à commencer par la détection des talents, qui doivent passer par les centres de formation des clubs.

C’est pourquoi nous avons fait un gros effort pour doter les clubs de centres de formation. Les centres régionaux sont les mêmes que le centre national, mais en miniature”, a détaillé le président de la FRMF lors d’une intervention devant la presse.

C’est notre conception du cycle de développement, qui commence par la détection dans le football de masse, et qui doit aboutir via les clubs au centre régional et au centre national d’excellence”, poursuit Lekjaa. Ainsi, à Saidia, dans l’ouest du Maroc, la FRMF a construit un centre technique, le Centre régional de Saidia, fortement inspiré du Complexe Mohammed VI. D’autres centres régionaux sont en cours de livraison.

Le développement des infrastructures s’accompagne d’un volet éducatif, pour tenter de resserrer un peu plus les mailles du filet et ne passer à côté d’aucun talent potentiel. “Nous avons lancé un programme Sport Étude avec le ministère de l’Éducation nationale pour avoir des structures scolaires à travers le Royaume qui puissent accueillir des garçons et des filles qui pratiquent le football de manière permanente avec un programme adapté dans tous les niveaux de la scolarité”, explique le président de la FRMF.

Candidat régulier à l’organisation de la Coupe du Monde de la FIFA, le Maroc dispose sans doute de la meilleure offre touristique du continent africain, avec des infrastructures de premier ordre (hébergement et transport) et des terrains de football répondant aux normes internationales.

L’amélioration de la gouvernance dans l’administration du football marocain.

En effet, la FRMF soutient les clubs nationaux sur le plan administratif et financier.

D’une part, les clubs d’élite sont en cours de transformation en sociétés anonymes et ont été placés sous la tutelle de la Direction Nationale de Contrôle et de Gestion. D’autre part, la FRMF verse à chaque club de première division une subvention annuelle d’environ 600 000 euros.

Sans compter l’aide financière et le soutien accordés à tous les clubs participant aux compétitions continentales interclubs.

Le triomphe du football marocain est également dû à l’excellente gestion de la crise du covid-19 par la FRMF : la Botola 2019/2020 a repris avec un protocole sanitaire efficace, ce qui a permis aux supporters marocains de vivre une saison épique, avec trois équipes se disputant le titre lors de la dernière journée.

Par ailleurs, malgré la crise, la FRMF a réussi à obtenir un nouveau sponsor, Inwi (secteur des télécommunications), à embaucher une société spécialisée dans la programmation des matchs de championnat, et à généraliser la VAR à la deuxième division.

Amélioration de la formation

La FRMF a également placé la formation des joueurs au cœur du développement du football national. Les clubs nationaux disposent de centres de formation de qualité (FUS Rabat, RS Berkane…) et s’appuient sur des joueurs issus du vivier local, tandis que d’autres clubs disposent d’académies de premier plan. Par exemple, le Raja Casablanca vient d’inaugurer une toute nouvelle académie de football.

La FRMF a également axé sa stratégie sur la promotion de la formation des cadres, notamment des entraîneurs, mais aussi du personnel médical et des arbitres.

Cette amélioration de la formation s’est traduite par un exploit il y a deux ans : l’équipe nationale U20 s’est qualifiée pour la CAN U20 en Mauritanie, ce qui n’était pas arrivé depuis 15 ans.

Perspective de développement du football féminin

Le président Lekjaa a annoncé en 2019 un grand plan de développement du football féminin. Celui-ci a pris la forme d’un plan Marshall avec une multiplication par six du budget alloué au football féminin, la mise en place pour la première fois d’un championnat professionnel féminin sous l’égide d’une institution dédiée, la toute nouvelle Ligue nationale de football féminin.

L’entraîneur français Reynald Pedros, double vainqueur de l’UEFA Women’s Champions League, a été engagé, illustrant l’ambition de la FRMF pour le football féminin. En 2022, le Maroc a accueilli la CAN féminine pour la première fois.
Ce fut une grande fête pour le football africain, avec des records en termes d’audience et de spectateurs, et surtout une belle réussite pour les Lionnes de l’Atlas qui ont atteint la finale de la compétition, avec un ticket pour participer à la Coupe du Monde Féminine de la FIFA 2023, sachant que les U17 féminines ont également réussi l’exploit de se qualifier pour la Coupe du Monde de la FIFA 2022.

Maroc bonnes relations internationales un bon coup dans la bonne direction.

Depuis 2015, la FRMF a mené une politique ambitieuse de coopération internationale. Plus de 45 partenariats ont été signés avec des fédérations africaines issues de toutes les sous-confédérations de la CAF.

Une très grande majorité de ces accords ont été prolongés en 2019, ce qui illustre l’importance et l’efficacité de ce type d’accord de partenariat.

Le retour institutionnel du Royaume au sein de l’Union africaine, grâce à la diplomatie visionnaire du Roi Mohammed VI, constitue une base solide pour que la FRMF décide de faire ce choix stratégique de renforcer la politique de coopération internationale qui s’ouvre à ses homologues en Afrique.

Les accords de partenariat entre la FRMF et les autres fédérations africaines s’articulent autour de plusieurs axes : l’appui en termes de réalisation d’infrastructures sportives, l’échange de bonnes pratiques, la formation du personnel technique et administratif, l’accueil de stages de préparation des équipes nationales, mais aussi l’arbitrage ou l’organisation de matchs amicaux entre les différentes catégories d’équipes nationales.

Cette coopération internationale peut également prendre la forme d’un soutien financier. Ainsi, il y a eu un acte qui constitue une première dans le domaine de la coopération Sud-Sud, et ce à l’initiative de la FRMF, qui a gracieusement mis à disposition de la Fédération Rwandaise de Football (FERWAFA) plus de 2 millions de dollars, issus des fonds FIFA Forward, et initialement destinés à la FRMF.

C’est une première et un modèle que nous aimerions voir se reproduire plus souvent pour aider davantage de fédérations à se mettre à niveau.

 

La FRMF est également active dans la formation du personnel administratif et technique. Une délégation djiboutienne, composée des futurs cadres de l’académie nationale de football, est venue au Maroc en 2021 pour compléter leur formation.

Concernant le personnel technique, la FRMF organise régulièrement des stages de formation pour la licence CAF PRO, ouverte aux techniciens africains. Il existe également des stages de formation pour l’apprentissage des arbitres assistants vidéo (VAR).

L’organisation de stages de formation et de matches amicaux figure également parmi les priorités de la FRMF en matière de coopération internationale. Lors de la dernière date FIFA, plus de 12 équipes africaines sont venues au Maroc pour disputer des tournois amicaux.

En raison de l’absence d’homologation de certains stades par la CAF, plus d’une dizaine de fédérations africaines ont joué leurs matchs officiels au Maroc (Burkina Faso, Guinée Equatoriale.) pour ne citer que ceux-là.

Cette démarche ne concerne pas seulement l’équipe A mais aussi toutes les catégories de jeunes qui sont concernées (U20 et U17), aussi bien les équipes masculines que féminines. Cela permet aux partenaires africains du Maroc de se préparer dans les meilleures conditions et de pouvoir jouer ou s’entraîner au sein du Complexe de Football Mohammed VI.

Cette stratégie internationale de la FRMF ne concerne pas seulement la signature de conventions, mais surtout la réalisation d’actes sur le terrain, pour développer le football africain, et ce type d’action est désormais une composante de l’ADN de la FRMF.

En effet, la FRMF a développé et accompagné techniquement des projets de construction de terrains de football et de pelouses.

 

Le Maroc met à disposition des fédérations africaines et de leurs joueurs son expertise dans le domaine médical, en offrant la possibilité de se faire soigner à la clinique du Complexe de Football Mohammed VI.

Autant d’éléments qui expliquent le succès de la sélection marocaine sur la scène africaine et internationale, qui de l’avis de nombreux observateurs du football africain, mérite largement son triomphe. Cela explique également la volonté du Maroc d’accueillir la CAN 2025.

La candidature du Maroc à l’organisation de la Coupe d’Afrique des nations 2025

Aujourd’hui, le Maroc est le SEUL pays africain à avoir passé avec succès le prérequis exigé par la FIFA concernant tous les critères établis dans son cahier des charges (infrastructures sportives, hôtelières, sanitaires) pour être éligible à l’organisation de la Coupe du Monde dans son nouveau format à 48 équipes (au lieu de 32).

Lors de la candidature pour la Coupe du Monde 2026, une Task Force de la FIFA composée de dizaines d’experts avait sillonné le Maroc pendant plusieurs mois avant d’attribuer une note supérieure à la moyenne qui rendait la candidature du Royaume éligible à la Coupe du Monde dans son nouveau format à 48 équipes.

Le Maroc n’a pas accueilli de Coupe d’Afrique des Nations depuis 1988, même si la ferveur et la passion du public marocain ont été remarquées par tous lors des différentes compétitions de football de ces dernières années, notamment la Coupe du monde Qatar 2022, où le Maroc a été le premier pays africain de l’histoire à atteindre les demi-finales.

La FRMF est également active dans la formation du personnel administratif et technique. Une délégation djiboutienne, composée des futurs cadres de l’académie nationale de football, est venue au Maroc en 2021 pour compléter leur formation.

Concernant le personnel technique, la FRMF organise régulièrement des stages de formation pour la licence CAF PRO, ouverte aux techniciens africains. Il existe également des stages de formation pour l’apprentissage des arbitres assistants vidéo (VAR).

L’organisation de stages de formation et de matches amicaux figure également parmi les priorités de la FRMF en matière de coopération internationale. Lors de la dernière date FIFA, plus de 12 équipes africaines sont venues au Maroc pour disputer des tournois amicaux.

En raison de l’absence d’homologation de certains stades par la CAF, plus d’une dizaine de fédérations africaines ont joué leurs matchs officiels au Maroc (Burkina Faso, Guinée Equatoriale.) pour ne citer que ceux-là.

Cette démarche ne concerne pas seulement l’équipe A mais aussi toutes les catégories de jeunes qui sont concernées (U20 et U17), aussi bien les équipes masculines que féminines. Cela permet aux partenaires africains du Maroc de se préparer dans les meilleures conditions et de pouvoir jouer ou s’entraîner au sein du Complexe de Football Mohammed VI.

Cette stratégie internationale de la FRMF ne concerne pas seulement la signature de conventions, mais surtout la réalisation d’actes sur le terrain, pour développer le football africain, et ce type d’action est désormais une composante de l’ADN de la FRMF.

En effet, la FRMF a développé et accompagné techniquement des projets de construction de terrains de football et de pelouses.

 

Le Maroc met à disposition des fédérations africaines et de leurs joueurs son expertise dans le domaine médical, en offrant la possibilité de se faire soigner à la clinique du Complexe de Football Mohammed VI.

Autant d’éléments qui expliquent le succès de la sélection marocaine sur la scène africaine et internationale, qui de l’avis de nombreux observateurs du football africain, mérite largement son triomphe. Cela explique également la volonté du Maroc d’accueillir la CAN 2025.

La candidature du Maroc à l’organisation de la Coupe d’Afrique des nations 2025

Aujourd’hui, le Maroc est le SEUL pays africain à avoir passé avec succès le prérequis exigé par la FIFA concernant tous les critères établis dans son cahier des charges (infrastructures sportives, hôtelières, sanitaires) pour être éligible à l’organisation de la Coupe du Monde dans son nouveau format à 48 équipes (au lieu de 32).

Lors de la candidature pour la Coupe du Monde 2026, une Task Force de la FIFA composée de dizaines d’experts avait sillonné le Maroc pendant plusieurs mois avant d’attribuer une note supérieure à la moyenne qui rendait la candidature du Royaume éligible à la Coupe du Monde dans son nouveau format à 48 équipes.

Le Maroc n’a pas accueilli de Coupe d’Afrique des Nations depuis 1988, même si la ferveur et la passion du public marocain ont été remarquées par tous lors des différentes compétitions de football de ces dernières années, notamment la Coupe du monde Qatar 2022, où le Maroc a été le premier pays africain de l’histoire à atteindre les demi-finales.

La FRMF est également active dans la formation du personnel administratif et technique. Une délégation djiboutienne, composée des futurs cadres de l’académie nationale de football, est venue au Maroc en 2021 pour compléter leur formation.

Concernant le personnel technique, la FRMF organise régulièrement des stages de formation pour la licence CAF PRO, ouverte aux techniciens africains. Il existe également des stages de formation pour l’apprentissage des arbitres assistants vidéo (VAR).

L’organisation de stages de formation et de matches amicaux figure également parmi les priorités de la FRMF en matière de coopération internationale. Lors de la dernière date FIFA, plus de 12 équipes africaines sont venues au Maroc pour disputer des tournois amicaux.

En raison de l’absence d’homologation de certains stades par la CAF, plus d’une dizaine de fédérations africaines ont joué leurs matchs officiels au Maroc (Burkina Faso, Guinée Equatoriale.) pour ne citer que ceux-là.

Cette démarche ne concerne pas seulement l’équipe A mais aussi toutes les catégories de jeunes qui sont concernées (U20 et U17), aussi bien les équipes masculines que féminines. Cela permet aux partenaires africains du Maroc de se préparer dans les meilleures conditions et de pouvoir jouer ou s’entraîner au sein du Complexe de Football Mohammed VI.

Cette stratégie internationale de la FRMF ne concerne pas seulement la signature de conventions, mais surtout la réalisation d’actes sur le terrain, pour développer le football africain, et ce type d’action est désormais une composante de l’ADN de la FRMF.

En effet, la FRMF a développé et accompagné techniquement des projets de construction de terrains de football et de pelouses.

Le Maroc met à disposition des fédérations africaines et de leurs joueurs son expertise dans le domaine médical, en offrant la possibilité de se faire soigner à la clinique du Complexe de Football Mohammed VI.

Autant d’éléments qui expliquent le succès de la sélection marocaine sur la scène africaine et internationale, qui de l’avis de nombreux observateurs du football africain, mérite largement son triomphe. Cela explique également la volonté du Maroc d’accueillir la CAN 2025.

La candidature du Maroc à l’organisation de la Coupe d’Afrique des nations 2025

Aujourd’hui, le Maroc est le SEUL pays africain à avoir passé avec succès le prérequis exigé par la FIFA concernant tous les critères établis dans son cahier des charges (infrastructures sportives, hôtelières, sanitaires) pour être éligible à l’organisation de la Coupe du Monde dans son nouveau format à 48 équipes (au lieu de 32).

Lors de la candidature pour la Coupe du Monde 2026, une Task Force de la FIFA composée de dizaines d’experts avait sillonné le Maroc pendant plusieurs mois avant d’attribuer une note supérieure à la moyenne qui rendait la candidature du Royaume éligible à la Coupe du Monde dans son nouveau format à 48 équipes.

Le Maroc n’a pas accueilli de Coupe d’Afrique des Nations depuis 1988, même si la ferveur et la passion du public marocain ont été remarquées par tous lors des différentes compétitions de football de ces dernières années, notamment la Coupe du monde Qatar 2022, où le Maroc a été le premier pays africain de l’histoire à atteindre les demi-finales.

La CAN 2025 au Maroc sera un événement réussi car la compétition se déroulera dans des conditions logistiques optimales.

Rappel des villes hôtes et des stades :

Tanger (60 000 places), Fès (35 000 places), Rabat (45 000 places), Casablanca 45 000 places), Marrakech (45 000 places) et Agadir (45 000 places).

 

Le Maroc bénéficie de l’une des meilleures infrastructures de football en Afrique, puisque tous les stades sélectionnés ont été approuvés par la FIFA (dans le cadre du processus de candidature pour la Coupe du monde 2026), ainsi que par la CAF, dans le cadre des qualifications pour la Coupe du monde et la CAN. Le Royaume dispose également du Mohammed VI Football Complex, l’un des meilleurs centres nationaux de football au monde.

 

Le choix des villes hôtes répond à l’exigence d’excellence opérationnelle, et à celles en termes d’infrastructures sportives, résidentielles et de transport, répondant aux exigences de la CAF.

Notre candidature présente de nombreux autres avantages. Nous avons une solide expérience en matière d’organisation d’événements sportifs, notamment de football.

Le Maroc a organisé la CAN féminine 2022, la Ligue des Champions féminine 2022, le CHAN 2018, ainsi que plusieurs conférences, comme le Séminaire FIFA-CAF sur les infrastructures, au Complexe Mohammed VI en 2020.

Ainsi, le Maroc a accueilli plusieurs équipes africaines sans stade homologué lors des éliminatoires de la Coupe du monde 2022, jusqu’à 16 équipes nationales en même temps, ce qui pourrait être assimilé à une ” mini CAN “.

Disposant d’une forte expérience en matière de tourisme (plus de 12 millions de touristes en 2019), le Royaume est doté d’une infrastructure hôtelière de qualité et en quantité suffisante (90 000 chambres réparties entre les villes hôtes) pour accueillir les équipes nationales, les délégations officielles et les supporters dans des conditions favorables.

L’offre d’hébergement du Maroc permettra d’accueillir tous les acteurs de la compétition en proposant des tarifs adaptés à tous les budgets.

Enfin, la candidature marocaine répond à l’exigence de qualité en matière de mobilité et de transport. En effet, le Maroc bénéficie d’un réseau aérien, ferroviaire et routier dense.

L’aéroport Mohammed V de Casablanca est un véritable hub africain, et Royal Air Maroc est présente dans plusieurs pays, en Afrique de l’Ouest comme en Afrique centrale et orientale, desservant plus de 82 destinations en Afrique.

Une CAN 2025 au Maroc donnera également l’occasion à la diaspora africaine présente en Europe de se joindre à la fête, le Royaume étant largement desservi depuis le Vieux Continent avec des tarifs très abordables. Chaque ville hôte dispose d’un aéroport international.

Il sera également possible de voyager entre les villes par le train, car elles sont toutes reliées par le rail. Ainsi, SM le Roi Mohammed VI que Dieu l’assiste a inauguré la LGV Tanger-Casablanca en 2018, une première en Afrique. Enfin, le Maroc dispose d’un réseau autoroutier moderne de plus de 2000 km.

Enfin, la candidature du Maroc est légitime : d’abord, parce que l’équipe nationale a offert un rayonnement inégalé au football africain en ayant atteint les demi-finales de la Coupe.

Ensuite, parce que la FRMF est très engagée dans le développement du football africain et de la coopération, avec plus de 45 fédérations africaines partenaires, et ce dans le cadre de la Vision éclairée de Sa Majesté le Roi, qui promeut une plus grande implication dans le développement de la coopération Sud-Sud et gagnant-gagnant, notamment avec l’Afrique.